Si votre business est essentiellement basé sur la qualité de la relation entre vous et vos clients, une bonne proportion de votre source d’affaires devrait être constituée de recommandations.
Allô, John ? Yes Pourrais-tu me recommander auprès de personnes de ton réseau ? Oui bien sûr. Tu penses à qui ? Heu… heu… là tout de suite, je ne sais pas. Faut que je réfléchisse. Je te rappelle, OK ?
Et voilà la triste fin de votre demande qui se perd dans les sables du temps.
Des offres de Conseil, vous en avez sollicitées, mais vous a-t-on expliqué combien ça allait rapporter à votre business ?
Dans cette courte vidéo, Alain Pollard vous explique comment en 5 questions il est possible d’aborder ce sujet, quand bien même, toute mission de Conseil comporte des intangibles dont le chiffrage reste délicat.
ROI duConseil by ALPIN-FR Destination Performance IADT Juillet 2014
Voici les 5 questions :
Quel est l’impact opérationnel recherché ?
Quels sont les indicateurs ?
Quelle est la contribution de la mission à l’amélioration de ces indicateurs ?
Combien cela rapportera-t-il ?
Quel est le coût de la mission ?
Facile ? En tous cas utile… et même nécessaire pour rassurer client et conseil.
En Auvergne, comme dans le reste du pays, le recours à des consultants reste marginal de la part des petites et moyennes entreprises. Par ses actions, la Chambre Professionnelle du Conseil d’Auvergne tente de faire changer les mentalités et de faire comprendre que le conseil, loin d’être une dépense, est plutôt un investissement.
Alain Pollard et Emmanuel Bommier
Emmanuel Bommier est président de la Chambre Professionnelle du Conseil d’Auvergne (CPC) depuis février 2014. Ingénieur de formation, il commence à travailler en 1981 chez Pont-à-Mousson puis pour le groupe Valfond . En 2004, installé à Clermont-Ferrand, il passe un « executive MBA » avant de partir en tant que directeur adjoint d’une SCOP implantée à Brassac-les-Mines. Depuis 2008, Emmanuel Bommier est consultant à 40 % de son temps, les 60 % restants étant consacrés à son activité d’auditeur qualité chez Bureau Veritas. « Lorsque j’ai décidé de faire ce travail de consultant, j’ai très vite été mis en relation avec la Chambre Professionnelle du Conseil d’Auvergne qui propose de regrouper les consultants et cela m’a permis d’être introduit dans le réseau clermontois. Cette Chambre mérite que l’on développe sa présence localement, une présence qui avait déjà été bien travaillée par les équipes précédentes. Aujourd’hui, avec Alain Pollard qui est vice-président, et avec l’équipe d’animation, nous œuvrons pour lui donner encore plus de visibilité. »
“To make the world work for 100% of humanity in the shortest possible time, through spontaneous cooperation, without ecological offense or the advantage of anyone. We are blessed with technology that would be indescribable to our forefathers. We have the wherewithal, the know-it-all to feed everybody, clothe everybody, and give every human on earth a chance. We know now what we could never know before – that we now have the option of all humanity to “make it” successfully on this planet in this lifetime. To induce all humanity to realize full lasting economic and physical success, plus enjoyment of all the earth without one individual interfering with or being advantaged at the expense of another.”
Qui a dit ça ? Richard Buckminster Fuller, architecte, designer, inventeur, auteur et futuriste.
Il a, entre autres, réalisé le premier dôme géodésique puis construit des milliers d’autres à travers le monde.
Alors qu’est-ce qu’on attend pour être heureux ?
Pas de Yzonka ni de Yaka, à vous d’agir selon vos envies, votre inspiration, selon vos moyens et votre énergie.
Arrêtez de faire des vœux, pour vous-même comme pour les autres. Un vœu c’est un aveu d’impuissance face à la peur du mauvais sort d’un monde potentiellement hostile.
Lisez plutôt ceci. Ce mot chinois se prononce Wei Ji et il veut dire «Crise». D’après John Fitzgerald Kennedy, le premier caractère veut dire «danger». Déjà au début des trente glorieuses, les dirigeants de ce monde parlaient de crise.
Selon des enquêtes répétées à l’envi, de 60 à 70 % des collaborateurs du secteur privé seraient justement privés de motivation. Dans le secteur public, on ne sait pas. Mais qu’est-ce au juste que la motivation ? Maslow et Herzberg en leur temps, ont approché le sujet et introduit les notions d’extrinsèque et d’intrinsèque, que certains bien inspirés renomment l’inspiration.
Le baby-boom qui se transforme en mamy et papy boom, il y a 68 ans qu’on peut le prévoir.
Mais les cramponnés ? Pouvait-on le prévoir ? Ceux qui ne veulent pas décrocher, vous en connaissez bien sûr. D’abord ceux qui ont le pouvoir, les politiques et les grands patrons en font partie.
Viaduc de Garabit
Mais pas que.
Ceux aussi qui ont peur de s’ennuyer à la maison.
Ceux qui ont peur de redevenir “plus rien” avant la vraie fin.
Ceux dont les revenus de retraite sont insuffisants.
Voici quelques cramponnés magnifiques.
C’est près du viaduc de Garabit, merveille de l’ingénieur Eiffel, que j’ai rencontré Lucien.
Cette métaphore du manager chef d’orchestre, vous l’avez souvent entendue. Si quelque chose vous chatouille à ce propos, j’apporte du poil à gratter.
Ayant eu la chance d’assister à un concert symphonique dans un ancien grand séminaire d’une petite ville, j’ai pu observer le fonctionnement de cette PME d’une cinquantaine de personnes en étant pratiquement au coude à coude avec la troisième rangée de violons. Instrumentistes majoritairement féminins chez les violons et les bois, majoritairement masculins chez les autres cordes, cuivres et percussions. Les femmes au pipeau et les hommes à la grosse caisse, métaphore quand tu nous tiens. Après la session toujours rigolote d’accordage des violons, ça commence fort. Le chef d’orchestre entre en scène, salue uniquement le premier violon et ignore superbement tous les autres musiciens; quel mépris. Je vous déconseille formellement ce comportement dans votre entreprise.
Quand un gamin de 11 ans vous lance cette injonction, vous l’envoyez jouer dehors.
Autiste qui n’aurait jamais du parler et être capable de nouer ses chaussures, Jacob Barnett, à l’âge de 8 ans, décide d’apprendre tout l’outillage du calcul algébrique et trigonométrique pour résoudre un problème d’astrophysique. Ses parents appellent au secours un savant de Princeton pour le convaincre d’aller jouer dehors. Celui ci au contraire lui dit qu’il est sur la bonne piste et l’encourage à poursuivre.
Vendre des centaines d’avions à une compagnie aérienne demande beaucoup de talents et de temps. Mais savez-vous qu’il faut aussi porter un caleçon propre ?