Arrêtez de faire des vœux, pour vous-même comme pour les autres. Un vœu c’est l’appel à une providence bienveillante de justice, de paix, de réussite et de bonheur; une sorte d’aveu d’impuissance face à la peur du mauvais sort d’un monde potentiellement hostile.
Lisez plutôt ceci. Ce mot chinois se prononce Wei Ji et il veut dire «Crise». D’après John Fitzgerald Kennedy, le premier caractère veut dire «danger». Déjà au début des trente glorieuses, les dirigeants de ce monde parlaient de crise.
La crise, nous on en parle en douce France depuis le premier choc pétrolier en 1973. Quarante ans de crise, ça suffit !
Pour 2014, je vous propose de passer au deuxième caractère chinois, celui qui signifie «opportunité». Tout est une question de regard. Pour chaque mauvaise nouvelle, cherchez systématiquement la bonne nouvelle qu’elle cache. Plus vous vous entraînez, plus ça devient facile.
Le problème ne disparaît pas pour autant, mais de nouveaux horizons s’ouvrent à vous. Et si vous focalisez votre attention sur ces perspectives vous vous construirez une excellente année 2014.
Faites-le, c’est gratuit, hors taxes et hors impôts.
Donc «Bonne année» à vous.
Ce n’est pas un vœu, mais une affirmation !